jeudi 20 septembre 2012

Moonrise kingdom // Le royaume de la pleine lune



Il faut avouer, tout d'abord, que bien que je ne sois une spectatrice super avertie, je possede toutefois une sorte de snobisme surtout concernant les film americains. La situation est un peu triste - quand il est impossible à satisfaire. Mais cette-fois là j'ai entendu des opinions positives nombreuses de gens dons avis je respecte beaucoup, et puis l'ébullition surgîtes soudainement autour un film n'est pas un cas fréquent. Ainsi, frappée par intérêt éveillé j'ai reculé le scepticisme et... passé une soirée magnifique! Nous, moi et mon copain, nous étions émus et heureux d'y consacrer deux heures de survole de contes. Et je vous jure que cela n'est pas un film pour les enfants exclusivement.

D'ailleurs, on essai à analyser un peu les procédé appliqués par réalisateur Wes Anderson (à propos, comme il arrives toujours, j'ai réalisé que j'ai déjà vu quelque films accrochant de cet auteur. Rushmore, notamment). La côté le plus vigoureuse me semble la stylisation crée. Conformément à style de cinéma des années 80 (peut-être =) réalisateur a ériger un vrai gâteux succulent imbriqué par les couche de la couleur, l'ouvrage d'opérateur, le montage, la musique, les costume...assaisonné par l'allure d'enfance fantastique et de nos rêves et notre nostalgie. Même l'élocution semble tressée de clichés linguistique de "cette époque-là". En effet, ce modus tiède de nostalgie est affermit à double tour - par le style présenté de temps romantique et par les songeries d'enfances rêveur et héroïque. Selon moi, cette double tendance est symptomatique. Est-ce qu'on se trouve au point de modification d'orientation d'âge? Est-ce qu'on vas plus loin et tourne de culte de jeunesse vers l'enfance? Et pourrait-il signifier qu'on a besoin de se débarrasser de notre gravité et retrouver la naïveté perdue, rêves de susciter un royaume fantastique.

En plus, dans le contexte de la reproduction de style de cinéma historique, "Le royaume" partage la tendance avec un autre film tapageur qui a retentit récemment - "L’Artiste". Est-ct qu'il s'agit d'interprétation nouvelles d'histoire de cinéma? Ou, bien, plutôt, de l'idéalisation de passée? Est-ce qu'on a épuisé nos moyens de création? Si cela est comme ça, c'est un indice déjà remarquable de décadence de civilisation. C'est difficile à définir comment je me suis approchée de sujet de "fin du monde". La soleil brille, j'ai saché un et demi cours de matin. Donc, les pensées pessimistes éloignez-vous!

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