26 septembre, dans une salle baroque mais plutôt accueillante que pompeuse de la Maison de Savant la conférence publique consacré aux Hegel et sa lecture par Dostoevski a lieux.
Monsieur Gérard Gegneux (je ne suis pas sûre d’othographie de son nom), un professeur de l’Université de Nancy, département de la Culture russe (ou la littérature russe) a évoqué ses pensées, concernant l’influence de Hegel à Dostoevski. Cette influence est distinctement visible surtout dans le deuxième récit (échoué pour publique de cette époque) de Dostoevski – « Un Sosie » - l’exsemple d’un dialectique classique conformément à « Un maître et un esclave » de Hegel. Le conférencier a justement souligné que les interprétations de Hegel en U.R.S.S. et celles qui d’Almagne sont bien sûr, différent et distingués (à propos, aussi que en France). Parmi les auditeurs quelq’un a remarqué que la situation avec compréhension d’Hegel changeait complètement durant un siècle et demi si Doestoevski, selon Monsieur Genheux, connaît Hegel, son interprétation n’était pas celle qui de U.R.S.S. Actuellement, ce que le même auditeur a remarqué, la compréhension diffère autant que personne ne le (Hegel) comprend plus (surtout cela concerne les étudiants). Et ce la problème éternelle de la traduction, car Dostoevski lui-même lisais Hegel en allemand. Une chance rare aujourd’hui!
En définitif, les impressions finals. Premièrement, le conférencier a énoncé sa théorie de la logique de déploiement historique de Russe en commençant par Petr I et à partir de la « floraison » de U.R.S.S. Schématiquement : Petr I – le meurtre de Père (de notion de psychanalyse), l’amputatuin des racines -----l’apparation de l’homme superflu, de "l’homme ridicule"------le terrorisme (dans le style de « Les Diables » de Dostoevski -------le terrorisme policière de NKVD et KGB.
Il faut avouer que je ne suis pas très forte ni dans l’histoire ni dans littérature russe (quelle honte mais je suis née et étudiait dans le temps de la politique reactionnelle de l’État concernant les questions culturelles. Toute fois cette système bien tournée me semble opaque et suggère la méfiance (comme toutes les explications bien tournées,qui coupent les pieds dans le lit de Procuste.
La deuxième, ma propre, découverte concerne le fait que les français du XIX et même de début du Xxeme siècles n’étaient pas du tout passionnés par l’oeuvre d’Hegel, et juste dans les années 30 Alexandre Kojève (par contre il était le neveu de Kandinski) a communiqué cette (neo)vague aux intellectuels français de cette époque-là. Un homme très influent et constamment cité dans notre « société culturelle » – Boris Groys – est parti en tournée mondiale avec l’éxposition d’oeuvre photographique de Kojève (il me semble actuellement il se trouve en Chine).
Finalement, Monsieur Gegneux lui-même m’a laissé les impressions particulières. Notamment, le fait qu’il a présenté son exposée en russe (bien sûr, pas très naturelle– avec les fautes de conjugaison et le lexique restreint, mais tout de même cela impressionne). Mais là une question a surgi pour moi. Autant qu’il s’éxprimait d’une manière un peu primitive, ces idées pouvaient être mal comprises.Et moi, comme un auditeur intéressé j’insisterais pour qu’il recouris, quand même. à l'aide d’un interprète. Une autre chose qui m’a semblait amusante, c’est sa ressemblance à un « intellectuel soviétique » avec la chemise et les lunettes d’une manière très correcte.
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