dimanche 30 septembre 2012
jeudi 27 septembre 2012
Dostoevski et...Hegel?
26 septembre, dans une salle baroque mais plutôt accueillante que pompeuse de la Maison de Savant la conférence publique consacré aux Hegel et sa lecture par Dostoevski a lieux.
Monsieur Gérard Gegneux (je ne suis pas sûre d’othographie de son nom), un professeur de l’Université de Nancy, département de la Culture russe (ou la littérature russe) a évoqué ses pensées, concernant l’influence de Hegel à Dostoevski. Cette influence est distinctement visible surtout dans le deuxième récit (échoué pour publique de cette époque) de Dostoevski – « Un Sosie » - l’exsemple d’un dialectique classique conformément à « Un maître et un esclave » de Hegel. Le conférencier a justement souligné que les interprétations de Hegel en U.R.S.S. et celles qui d’Almagne sont bien sûr, différent et distingués (à propos, aussi que en France). Parmi les auditeurs quelq’un a remarqué que la situation avec compréhension d’Hegel changeait complètement durant un siècle et demi si Doestoevski, selon Monsieur Genheux, connaît Hegel, son interprétation n’était pas celle qui de U.R.S.S. Actuellement, ce que le même auditeur a remarqué, la compréhension diffère autant que personne ne le (Hegel) comprend plus (surtout cela concerne les étudiants). Et ce la problème éternelle de la traduction, car Dostoevski lui-même lisais Hegel en allemand. Une chance rare aujourd’hui!
En définitif, les impressions finals. Premièrement, le conférencier a énoncé sa théorie de la logique de déploiement historique de Russe en commençant par Petr I et à partir de la « floraison » de U.R.S.S. Schématiquement : Petr I – le meurtre de Père (de notion de psychanalyse), l’amputatuin des racines -----l’apparation de l’homme superflu, de "l’homme ridicule"------le terrorisme (dans le style de « Les Diables » de Dostoevski -------le terrorisme policière de NKVD et KGB.
Il faut avouer que je ne suis pas très forte ni dans l’histoire ni dans littérature russe (quelle honte mais je suis née et étudiait dans le temps de la politique reactionnelle de l’État concernant les questions culturelles. Toute fois cette système bien tournée me semble opaque et suggère la méfiance (comme toutes les explications bien tournées,qui coupent les pieds dans le lit de Procuste.
La deuxième, ma propre, découverte concerne le fait que les français du XIX et même de début du Xxeme siècles n’étaient pas du tout passionnés par l’oeuvre d’Hegel, et juste dans les années 30 Alexandre Kojève (par contre il était le neveu de Kandinski) a communiqué cette (neo)vague aux intellectuels français de cette époque-là. Un homme très influent et constamment cité dans notre « société culturelle » – Boris Groys – est parti en tournée mondiale avec l’éxposition d’oeuvre photographique de Kojève (il me semble actuellement il se trouve en Chine).
Finalement, Monsieur Gegneux lui-même m’a laissé les impressions particulières. Notamment, le fait qu’il a présenté son exposée en russe (bien sûr, pas très naturelle– avec les fautes de conjugaison et le lexique restreint, mais tout de même cela impressionne). Mais là une question a surgi pour moi. Autant qu’il s’éxprimait d’une manière un peu primitive, ces idées pouvaient être mal comprises.Et moi, comme un auditeur intéressé j’insisterais pour qu’il recouris, quand même. à l'aide d’un interprète. Une autre chose qui m’a semblait amusante, c’est sa ressemblance à un « intellectuel soviétique » avec la chemise et les lunettes d’une manière très correcte.
dimanche 23 septembre 2012
Désiré: marbre
Voilà, ce que m'a surgit cette nuit d'automne et de café au lait tardif :
Je m'est rappelée une moment, juin cette année, quand nous sommes entrés en passant au librairie de ('un de superbe) musée d'archéologie en THESSALONIKI, Grèce. Parmi les livres largement illustrés il se trouvaient les étagères en bois avec les rangées de bustes des héros antiques. En marbre et en plâtre.
Leurs visages figées et inanimées ont apparu devant mes yeux inopinément. On peux le considérer comme un jeu banal de conscience où de mémoire plutôt. Que qu'il soient, érotisme et poétisme de parties de corps en marbre froid sont à peine discutables.
Les objets qui ne peuvent pas céder, mais qui dirigent eux-même. Énigmatiques, non éclaircis, impérieux.
Je désire la tête de Pláton, de Dēmókritos, de Seneca... Je le placerais sur la commode, tout près de lit. J'essairait à tirer leurs âmes désirées.
jeudi 20 septembre 2012
Moonrise kingdom // Le royaume de la pleine lune
Il faut avouer, tout d'abord, que bien que je ne sois une spectatrice super avertie, je possede toutefois une sorte de snobisme surtout concernant les film americains. La situation est un peu triste - quand il est impossible à satisfaire. Mais cette-fois là j'ai entendu des opinions positives nombreuses de gens dons avis je respecte beaucoup, et puis l'ébullition surgîtes soudainement autour un film n'est pas un cas fréquent. Ainsi, frappée par intérêt éveillé j'ai reculé le scepticisme et... passé une soirée magnifique! Nous, moi et mon copain, nous étions émus et heureux d'y consacrer deux heures de survole de contes. Et je vous jure que cela n'est pas un film pour les enfants exclusivement.
D'ailleurs, on essai à analyser un peu les procédé appliqués par réalisateur Wes Anderson (à propos, comme il arrives toujours, j'ai réalisé que j'ai déjà vu quelque films accrochant de cet auteur. Rushmore, notamment). La côté le plus vigoureuse me semble la stylisation crée. Conformément à style de cinéma des années 80 (peut-être =) réalisateur a ériger un vrai gâteux succulent imbriqué par les couche de la couleur, l'ouvrage d'opérateur, le montage, la musique, les costume...assaisonné par l'allure d'enfance fantastique et de nos rêves et notre nostalgie. Même l'élocution semble tressée de clichés linguistique de "cette époque-là". En effet, ce modus tiède de nostalgie est affermit à double tour - par le style présenté de temps romantique et par les songeries d'enfances rêveur et héroïque. Selon moi, cette double tendance est symptomatique. Est-ce qu'on se trouve au point de modification d'orientation d'âge? Est-ce qu'on vas plus loin et tourne de culte de jeunesse vers l'enfance? Et pourrait-il signifier qu'on a besoin de se débarrasser de notre gravité et retrouver la naïveté perdue, rêves de susciter un royaume fantastique.
En plus, dans le contexte de la reproduction de style de cinéma historique, "Le royaume" partage la tendance avec un autre film tapageur qui a retentit récemment - "L’Artiste". Est-ct qu'il s'agit d'interprétation nouvelles d'histoire de cinéma? Ou, bien, plutôt, de l'idéalisation de passée? Est-ce qu'on a épuisé nos moyens de création? Si cela est comme ça, c'est un indice déjà remarquable de décadence de civilisation. C'est difficile à définir comment je me suis approchée de sujet de "fin du monde". La soleil brille, j'ai saché un et demi cours de matin. Donc, les pensées pessimistes éloignez-vous!
mercredi 19 septembre 2012
Chère tout le monde
Le but principal de cette page-là sera:
- Me forcer à rédiger en français
- Verbaliser les idée et les impressions tournants autour et passants à côté de moi
- Evoqer, partager et fixer les émotions et les frémissement qui ont la tendance de se volatiliser et s'en aller en fumée
- Et, bien, la lutte contre la mauvaise orthographe
!
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